Ils...

..disent pas que des trucs cons sur les forums des fois : "si tant de gens (hommes et femmes) ne confondaient pas l'amour et la passion, je pense qu'il y aurait moins de ruptures."

Sauf qu'on en est pas là, mais bref.

Des faits, il faut des faits.

Amis
  Couple
     ...?

 L'un découle de l'autre et je ne voie pas aujourd'hui ce qui découle du 2nd.
Ce qui a fait notre complicité, notre entente, notre unicité, c'est l'amitié.
Et un couple c'est quoi ?
Qu'elle ait pris une claque à un moment donné, ok.
Qu'on ne sache pas pardonner la claque, là je dis non.

Donc, il y a eu un fait, ou plusieurs, qui ont menés à une solution radicale. Tout erradiquer, en souffrant de préférence, d'un côté comme de l'autre. Pour mieux reconstruire. Autre chose. Oui mais quoi ? Quand toute ma peau hurle son manque, quand mes mains tremblent avant de le voir, quand mon coeur s'envole quand je sais qu'il rentre à l'instant...je fais quoi moi de ça ?!
Ce n'est pas se raccrocher au passé que de vivre à l'instant ces moments là.
Et n'est-ce pas d'ailleurs se raccrocher au passé, que de se dire que l'on va retrouver notre amitié, comme avant ?
C'est regretter ce qui étais nous hier, en se faisant croire que l'on veut avancer. C'est dire que notre couple est une erreur, une énorme connerie qui n'a fait que nous éloigner. C'est nous qui nous sommes éloignés, qui avons creusé un fossé tout simplement parcequ'on osait pas se dire les choses à l'instant T, de peur de ne pas se pardonner.
La situation actuelle nous prouve le contraire. Nous sommes capables et pas qu'un peu, d'accepter la colère de l'autre, ses frustrations, ses attentes, nous sommes capables de dire et d'entendre.

J'ai confiance en son jugement et ne sous-estime pas la force de sa décision et de ce qu'elle représente pour lui. J'ai confiance en son attachement, je crois plus que tout à un possible retour de notre complicité, plus solide et d'ici peu.

MAIS IL ME MANQUE BORDEL !


J'ai envie d'un espace bien à soit, aussi bien physique/matériel, que dans les rapports à tout un chacun (et donc et surtout, y compris pour notre fils) : un appart à soit, chacun, à défaut d'avoir l'espace ; un boulot à soit chacun ; des comptes clairs et carrés pour n'avoir à les regarder qu'une fois, une seule : le jour où on les met au carré ; des règles strictes et posées quand à notre fils, qui sauront évoluées, mais n'empêche que : horaires, crises, gestions de mode de garde et touti quanti ; des règles tout aussi strictes quand à se dire les choses et d'écouter, prendre en compte les demandes de l'autre. La mienne actuellement est la suivante : réécrire, mais à 2, et se faire accompagner, parceque qui ne tente rien ne peux pas savoir, un psy c'est juste inutile pour qui a testé, point.


huh.
Plus facile d'être stricte et dur dans mes dires quand je l'écrit simplement pour moi. Je factualise pour prendre du recul.
Ah ça aussi tiens !
Autre règles : savoir prendre du recul.
ah !
mouais, facile....bref.



Retrouver le goût de sa peau...c'est une bien étrange sensation qui me vient là.
Rouvrir mes sens de femme alors qu'en face il ne veut plus qu'offrir un mur. Paf !

Et si moi j'ouvre sa porte, il se passe quoi ?
Et si je la referme totalement ?
Et si j'arrêtais d'espèrer, se mettrait-il lui alors à espérer de nouveau ? Ah bah ce serait du beau tiens !

Humeur zen et joyeuse (défoncée par la déprime ?!), sans espoirs aucuns, juste celui d'une bonne soirée qui s'en vient, oui, et merde : il me manque encore. Rah ! et je veux qu'il parte le plus vite possible.


Sur ce , c'est l'heure du thé, damned.